• C'est bizarre en fait. On se prépare tout un plan d'action, une liste de choses à faire, et au final, rien ne se passe comme prévu.

    En ce moment je suis captivé par mon récit "Entre enfer et paradis". Je le publie par épisodes: trois chapitres à la fois, pour une publication par mois.

    Pas envie de bosser ce matin, alors je fais comme d'hab dans ces cas-là: je ne suis pas le programme, j'attaque par ce que j'ai envie de faire. Je m’attelle donc au volume 2 de "3EP". Et c'est... vraiment sympa! Je retrouve des moments oubliés, je retravaille mon texte avec beaucoup plus de facilité. Même s'il n'est pas parfait, je me rends compte que l'ancienne version balancer déjà du lourd.

    Certes, il ne se passe rien... mais c'est en fait tout l'univers qui se construit petit à petit, en même temps que je réfléchis aux impondérables d'une publication par épisodes. Il me faut ainsi écrire un long résumé des deux premiers chapitres. Mais à un moment, je me dis: qu'est-ce que ça va donner au chapitre 20 ??? Le résumé va faire dix pages au moins, un livre complet ^^

    J'avais reçu une mauvaise critique sur "Chasseurs d'esprits" alors cet aprem, j'ai attaqué à nouveau le chapitre 1. Il y avait des choses que je n'aimais pas, depuis longtemps déjà. D'abord l'histoire du gamin à vélo. Je l'ai enlevée, remplacée par quelque chose de plus prégnant, qui prend aux tripes (enfin j'espère), et qui donne mieux au final.

    Deuxième chose qui n'allait pas, c'est le personnage de Samy Lowell lui-même, et surtout l'importance de son passé. Je pense avoir rattrapé un peu ce qui n'allait pas, mais je me rends compte qu'il faudra que je distille d'autres éléments tout au long du roman. Car si j'ouvre le roman sur ce thème-là, qui va marquer les lecteurs, il faut que je l'entretienne et le fasse vivre tout au long de l'histoire.

    Je verrai bien, de toute façon. La correction commence à peine. Je vais tâcher de la faire lentement, avec lucidité, pour que le roman y gagne un supplément d'âme.

    Finalement, on peut dire que c'est une journée de repos plutôt bien mise à profit. Mais je me suis fait peur: ce matin, je me voyais ne rien réussir à faire. Pour une fois que j'ai une journée seul, sans les enfants, de 9h00 à 16h30, ça aurait été dommage de la gâcher.

    Bon... je continue à me faire un peu de soucis pour des ventes faibles. Cela devrait évoluer, les mois d'Avril et de Mai qui viennent devraient être plus efficaces.

    Patience est mère de toutes les vertus. Pas certain d'être vertueux ^^

     


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  • Parce que va falloir bosser dur !!!

    On commence par la correction de la nouvelle "Théâtre", une correction à faire samedi, une autre dimanche, afin de pouvoir l'envoyer lundi.

    Il faut ensuite mettre un coup de boost à "Cendrine", le texte se morfond sur place. J'ai tout à l'esprit, faut juste l'écrire. Aaaaahhhhh !!! C'est terrible quand ça n'avance pas. On a soudain l'impression que ça ne finira jamais. Reste quoi pourtant, deux, peut-être trois chapitres.

    J'ai déjà toutes les scènes:

    • Déjeuner chez Mathilde, conversation avec sa petite sœur,
    • Face à face entre Sandra et Sandrine,
    • Détails de la fin de l'histoire de Mylène,
    • Vote du permis de construire,
    • Rencontre au parc entre Pierre et Sandra,
    • Sandrine les suit,
    • Recrutement des filles de la fac de lettres,
    • Tentations avec le pompier,
    • Sandrine se livre à nue,
    • Sandra va partir,
    • Un pacte par le sang,
    • Dernière rencontre avec Mylène,
    • Mylène s'échappe,
    • Face à face entre le maître d'école et Sandra, et entre Mylène et Sandrine,
    • Sacrifice final,

    NONONONONON !!! Y en a trop... C'est pas possible !!!

    Ecoutez, voilà, je me dis : "faudra le temps qu'il faudra". On ne peut décemment pas aller plus vite que la musique. Chaque histoire mérite qu'on la livre entièrement, totalement. Aller... trop vite, reviendrait à sacrifier des parties importantes de l'histoire.

    Je suis impatient de nature, avide de réalisation, d'obtenir enfin le résultat tant convoité. Bon !! Ça prendra un peu plus de temps. Je voulais que le roman sorte pour la Ste Sandrine. Il sortira probablement plus tard, vers fin avril.

    D'un autre côté, si je ne prends pas d'autres travaux à faire, je ne vais plus avoir que ce roman à bosser. Avec un seul plat sur le feu, le dîner n'en sera que meilleur. Bon appétit !!


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  • Je viens de terminer une nouvelle intitulée "Théâtre"... et parfois ça fait plaisir de voir un texte couler de source, être une évidence et paraître à ce point réussi.

    Alors, il va être présenté pour un projet de recueil sur de nombreuses thèmes. Le mien était "les pirates". On verra ce que ça donne. Comme on dit, toutes les opportunités sont bonnes à prendre. L'une d'entre elles parviendra peut-être à déboucher quelque part.

    J'adore cette nouvelle, c'est définitif. J'espère que vous aurez un jour l'occasion de la lire.

    Premier jour de reprise, et coup de barre, ce soir. C'est le temps de reprendre le pli. On n'est plus habitué à se lever aussi tôt.

    Euh... j'attends avec impatience le mois d'avril. "Cendrine" devrait être fini, probablement fin du mois, et va s'inscrire dans un programme de promo, puisque pas moins de cinq romans seront proposés gratuitement sur 1 mois et demi.

    Bises à tous ^^

     


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  • Impossible de dormir... C'est la rentrée ce matin, fin des vacances, et on s'était donc couché tôt, histoire de palier au réveil très matinal, genre 6h15.

    Et pourtant, impossible de dormir, réveillé comme si c'était déjà le matin, réveillé en un nombre de fois qui te donne la sensation horrible de ne pas avoir fermé l’œil de toute la nuit.

    Au matin, un rêve... Quel drôle de rêve, affreux. J'ai parfois la satisfaction de me dire que mes rêves m'ont apporté certaines de mes "visions" les plus intéressantes, et d'autres fois... Bref, ce rêve était à la hauteur de la nuit:

    "Je suis avec un de mes collègues de travail, et il a une petite fille. On travaille tous les deux dans un atelier, genre annexe d'un hôpital. Sa fille s’entraîne au tir avec une mitrailleuse. Et l'un de ses tirs dérape et touche une autre enfant aux jambes.

    Le père s'empare de l'arme et assume que c'est lui qui s'entraînait. Je le soutiens là-dessus, avant de me sentir coupable. C'était un rêve après tout, je n'ai pas saisi l'inconscience de la situation.

    Bref, je suis obligé de revenir sur ma parole".

    Alors que se passe-t-il ??? Sentiment de culpabilité, ou vraiment trop mauvaise nuit pour rêver de quelque chose d'intéressant ??? Au réveil, j'étais démoralisé. Aucune vente de mes livres. L'envie de tout arrêter. L'éternelle question: Cendrine est-il publiable ??

    Le roman est à la fois bon et dérangeant. J'aurais aimé qu'il se contente d'être juste bon, ce qui n'est pas possible. C'est de l'épouvante. Cela justifie-t-il tout ?

    Le principe de l'épouvante est d'être dérangeant, de repousser les limites, au-delà des limites. Tout au moins, j'espère ??!!


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  • Rituel du matin, faire le tour des comptes-rendus des ventes sur Amazon. En numérique: zéro. En Broché: zéro. Ça ne peut que s'améliorer. Élément à prendre en compte pourtant, en Broché, le détail des ventes est décalé.  Les résultats s'affichent deux ou trois jours après l'envoi physique des livres. On dira que ça laisse une marge d'une semaine.

    Comment planifier et prévoir quoique ce soit avec un décalage d'une semaine ? Ben, on fait avec. Pas d'autres choix.

    J'écris vraiment n'importe quoi aujourd'hui. De quoi voulais-je parler ?

    Ah oui, l'éparpillement de l'auteur. Faut-il écrire peu partout, ou beaucoup à peu d'endroits ? Ben, j'en sais rien. Mais mine de rien, je commence à m'éparpiller, entre les pages Facebook de mes deux romans: "les joyaux Elitiques" et "16 jours à vivre", sur lesquels je dois mettre un article par semaine. Mon blog officiel, et ce blog ci. Twitter: un tweet tous les deux jours. Et quelques forums, ou diffusions d'infos sur les pages Facebook des écrivains et des lecteurs.

    Je me dis: ce sont les vacances, j'ai un peu de temps disponible. Mais quand j'aurais repris le boulot, ça va être chaud. Et dire que je voulais faire encore une nouvelle pour fin mars (afin de participer à l'édition d'un recueil).

    Si je ne suis pas un vrai écrivain, je m'en rapproche pas mal, finalement. C'est déjà ça. Bises à tous !!!

     

     


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